6 juin 2025

Norvège-Italie : Spalletti prépare un coup de théâtre pour stopper Haaland !

Lancement de la campagne italienne à Oslo

Ce vendredi 6 juin 2025, l’équipe d’Italie dirigée par Luciano Spalletti débute son parcours qualificatif pour la Coupe du monde 2026 par un déplacement périlleux à l’Ullevaal Stadion d’Oslo. Pour Romain, passionné de football, supporter invétéré de Manchester et du PSG, ce choc face à la Norvège s’annonce déjà comme un rendez-vous capital : première rencontre du groupe I, enjeu direct pour la première place et atmosphère scandinave garantie.

Contexte du groupe I et bilans avant la rencontre

L’Italie rejoint un groupe composé de Norvège, Israël, Estonie et Moldavie. Seul le premier du groupe se qualifiera directement pour la phase finale au Canada, aux États-Unis et au Mexique, tandis que le deuxième devra passer par les barrages. Contrairement aux Azzurri, la Norvège a déjà disputé deux matchs et engrangé six points en infligeant un total de neuf buts à la Moldavie (victoire 5-0) et à Israël (victoire 4-0). Les Scandinaves, galvanisés par le duo Haaland–Ødegaard, abordent cette affiche avec confiance.

Les compositions probables

Les onze alignés au coup d’envoi devraient refléter la volonté des deux sélectionneurs de jouer l’offensive tout en sécurisant l’arrière-garde.

Norvège (4-4-2)

  • Gardien : Rune Jarstein Nyland
  • Défenseurs : Ryerson – Ajer – Østigård – Wolfe
  • Milieux : Ødegaard (capitaine) – Berge – Berg – Schjelderup
  • Attaque : Haaland – Sorloth
  • Italie (3-5-1-1)

  • Gardien : Gianluigi Donnarumma
  • Défenseurs centraux : Di Lorenzo – Gabbia – Bastoni
  • Milieux latéraux et centraux : Cambiaso – Barella – Ricci – Tonali – Udogie
  • Deuxième attaquant : Giacomo Raspadori
  • Avant-centre : Moise Kean
  • Plusieurs absences pèsent sur l’Italie : Buongiorno et Calafiori sont blessés, Acerbi a décliné la convocation et Locatelli est forfait. Ces défections ouvrent une porte à Gabbia pour gagner du temps de jeu et la confirmation de Ricci dans l’entrejeu. À gauche, le duel Udogie–Dimarco reste à trancher.

    Les points clés de la rencontre

    Plusieurs éléments pourraient faire basculer cette confrontation :

  • La capacité de l’Italie à museler Erling Haaland, meilleur buteur norvégien et véritable bras armé du plan offensif de Ståle Solbakken.
  • La maîtrise du milieu de terrain, avec la bataille entre Ødegaard, meneur de jeu norvégien, et Barella, relais technique des Azzurri.
  • L’impact des ailes : Cambiaso et Udogie doivent apporter des centres précis pour Kean, tandis que Wolfe et Ryerson chercheront à combiner avec Haaland.
  • La solidité défensive transalpine face au pressing norvégien, souvent intense dès la perte de balle.
  • Le facteur physique et climatique : jouer à Oslo en début juin reste moins éprouvant que dans d’autres capitales nordiques, mais le public et la météo peuvent surprendre.
  • La diffusion TV et streaming

    Pour suivre Norvège–Italie en direct, les téléspectateurs français devront faire appel à des plateformes étrangères. En Italie, le match sera diffusé sur Rai 1 (canal 1 du DTT et 501 HD) à 20 h 45. Les abonnés pourront également récupérer le signal sur RaiPlay, disponible en direct streaming via l’application ou le site web. Romain, toujours à l’affût des solutions pour regarder ses équipes, note que cette rencontre pourrait être accessible via certains bouquet internationaux ou services de streaming multilingues.

    Les enjeux pour chacun des protagonistes

    Pour la Norvège, il s’agit de conforter sa position de favori dans le groupe et d’enchaîner un troisième succès, gage d’une première place quasi-assurée. Solbakken mise sur la complémentarité entre Haaland, Sorloth et un milieu très mobile pour asphyxier les Italiens.

    Du côté italien, Spalletti veut avant tout lancer sa campagne sur de bons rails, malgré un effectif privé de plusieurs pièces maîtresses. Une victoire à l’extérieur renforcerait la confiance du groupe et relativiserait les absences. Romain souligne l’importance de l’aspect psychologique : un résultat positif à Oslo peut redonner un nouvel élan aux Azzurri, à un peu plus d’un an de la compétition mondiale.

    L’impact pour le public et les supporters

    Pour les supporters parisiens et mancuniens que compte Romain, la dynamique de cette qualification revêt un intérêt particulier. Ils suivront avec attention l’évolution de Kean, ancien attaquant de l’Inter Milan, et celle de Donnarumma, pilier de l’Italie. Du côté de Manchester, le duel Tonali–Ødegaard retiendra l’attention des fans, passionnés par les batailles tactiques au milieu du terrain.

    Quant aux réseaux sociaux, ils devraient s’enflammer sur chaque occasion de Haaland, sur les parades de Donnarumma et sur les choix tactiques de Spalletti. Ce match inaugurera une série de rencontres où chaque point comptera double.