À seulement 15 ans, Joshua Abe s’impose déjà comme l’un des plus beaux talents de Liverpool et suscite l’intérêt des plus grands clubs anglais. Passionné de football, je suis sans cesse à l’affût de la nouvelle pépite qui fera trembler les défenses de Premier League, et Abe coche toutes les cases : statistiques remarquables, aisance technique et déjà une réputation qui dépasse les frontières du Merseyside.
Un ailier aux pieds de velours
Joshua Abe évolue à Liverpool au niveau des U18 malgré son jeune âge. Doté d’une aisance naturelle sur le flanc droit, il aime repiquer sur son pied gauche pour déclencher des frappes coupées ou délivrer des centres millimétrés. Ses chiffres parlent d’eux-mêmes :
- 2 buts et 2 passes décisives en 5 rencontres de U18 Premier League cette saison ;
- 3 réalisations en 5 matchs avec l’Angleterre U16 depuis août ;
- Déjà comparé à Bukayo Saka pour sa vivacité, à Mohamed Salah pour sa technique de percussion et à Lamine Yamal pour sa spontanéité.
En tant que fan inconditionnel de Manchester City, j’ai vu Erling Haaland exploser les compteurs grâce à une coordination infaillible entre puissance et précision. Avec Abe, on retrouve ce mélange de finesse et de rage de vaincre, deux qualités qui font les grands joueurs.
Un parcours qui inspire confiance
Repéré dès l’âge de 9 ans par les recruteurs des Reds, Abe a gravi tous les échelons du centre de formation. Pourtant, il n’a pas encore paraphé de contrat de scholarship, un paradoxe qui renforce son attractivité :
- Six années passées au club sans engagement formel au-delà des catégories jeunesse ;
- Une marge de manœuvre intéressante pour tout prétendant prêt à lui offrir un projet clair ;
- Une notoriété grandissante auprès des recruteurs de Chelsea et d’Arsenal.
Cela me rappelle le cas de Kylian Mbappé, que j’admire aussi en tant que supporter du Paris Saint-Germain : un coup d’accélérateur décisif peut transformer un talent brut en superstar planétaire. Abe n’a besoin que de la bonne impulsion pour faire exploser son potentiel.
Pourquoi Arsenal rêve d’Abe
Les Gunners ont multiplié les coups de maître dans les recrutements de jeunes prodiges. Voici ce qui joue en faveur d’Arsenal :
- Son père est un supporter fidèle du club, un facteur sentimental non négligeable ;
- Arsenal dispose d’un staff réputé pour intégrer les jeunes, comme en témoignent les carrières de Bukayo Saka ou de Gabriel Martinelli ;
- Leur dynamique en Premier League place le club en position de leader pour séduire les plus grands espoirs.
Cependant, la concurrence interne est rude. À 24 ans, Bukayo Saka semble tailler sur mesure pour occuper le côté droit de l’attaque, limitant potentiellement les opportunités pour Abe.
Pourquoi Chelsea mise sur la pépite
Les Blues ne se contentent jamais de laisser filer une recrue prometteuse. Pour Chelsea, recruter Joshua Abe serait :
- Un moyen de venger la perte de Rio Ngumoha, passé à Liverpool en 2024 ;
- Une stratégie offensive pour renforcer un effectif déjà dense et offrir de la concurrence à tous les postes ;
- L’opportunité de suivre l’exemple d’Enzo Maresca, qui n’hésite pas à lancer des jeunes — Chelsea affiche ainsi l’ossature la plus jeune en moyenne sur ses 11 titulaires cette saison.
Rapidement, j’imagine Joshua Abe évoluer sous les projecteurs de Stamford Bridge, s’entraînant aux côtés de Cole Palmer ou de Raheem Sterling, et rafraîchissant le wing play grâce à sa spontanéité et sa folie créative.
Quel avenir pour Joshua Abe ?
Le suspense est à son comble. Arsenal ou Chelsea ? Liverpool maintiendra-t-il un dernier baroud d’honneur pour retenir son joyau ? Je suis convaincu que Joshua Abe, armé de son talent brut et de son ambition, fera le choix déterminant pour son développement. Quoi qu’il en soit, je suivrai chacune de ses secondes de jeu, que ce soit sur la pelouse de Goodison Park, dans les travées de l’Emirates Stadium ou sous les arches du Stamford Bridge.
