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Écosse : ces statistiques folles annoncent la chute imminente de Celtic et Rangers au profit de Hearts !

Moi, Romain, passionné de football et toujours avide de surprises, je n’en reviens pas du début de saison des Heart of Midlothian en Premiership écossaise. Alors que je rêve secrètement d’un doublé Manchester United–Paris Saint-Germain, je dois reconnaître que le coup de maître de Derek McInnes et de ses Jambos mérite toute mon attention. Neuf journées, huit victoires et un nul : jamais, dans l’ensemble des championnats que je suis aux quatre coins du globe, je n’avais vu un tel départ pour un club hors Old Firm.

Un parcours presque parfait pour Hearts

Avec seulement un match nul concédé face à Motherwell (3-3 à Tynecastle) et aucun revers, Hearts caracole en tête du classement avec huit points d’avance sur le deuxième, le Celtic. Cette domination se traduit sur le terrain par une attaque fluide et une défense solide. McInnes a su insuffler à son équipe une mentalité de gagneuse, capable de rester calme même après avoir concédé l’égalisation au terme d’un match fou contre Motherwell. Seuls les Hearts, dans tout le Royaume-Uni, peuvent se targuer d’un tel record : neuf rencontres jouées, 25 points engrangés et un goal-average positif qui fait pâlir d’envie leurs poursuivants.

Le Celtic sombrant dans la crise

Pendant que Tynecastle exulte, Parkhead traverse une tempête. Brendan Rodgers doit composer avec la pire entame de saison de Celtic depuis 26 ans (1998/99). En dix journées, les Hoops n’ont remporté que trois matchs : la défaite 3-1 subie à Edinburgh contre Hearts et l’échec face à Dundee pèsent lourd dans la balance. Ajoutez deux matches nuls sans but contre Rangers et Hibernian, et vous obtenez un bilan qui ferait pâlir n’importe quel géant européen. Les supporters réclament déjà la tête du manager et ses choix durant le mercato est pointé du doigt comme l’origine de cette chute vertigineuse.

Rangers : la désillusion post-Martin

Quant aux Rangers, c’est le naufrage logique après le passage calamiteux de Russell Martin, limogé après n’avoir remporté qu’un seul match de championnat. Sous l’ère Martin, les Blues d’Ibrox ont enchaîné six nuls et une défaite, s’enlisant à la cinquième place, à treize points de Hearts. L’arrivée de Danny Röhl a procuré un léger sursaut – victoire 3-1 contre Kilmarnock – mais le fond du problème demeure : un effectif en plein doute et un manque de cohérence tactique criant.

Les atouts fatals de Hearts

Cette combinaison d’expérience et de vitalité rappelle à Romain les équipes de Manchester City sous Guardiola : maîtrise du troisième tiers et concentration maximale jusqu’au coup de sifflet final.

Ce que Derek McInnes martèle

« Être huit points devant après neuf journées est une belle récompense, mais nous n’avons rien gagné », rappelle sans cesse McInnes à ses troupes. Dans une interview à BBC Scotland, il insistait sur la difficulté de chaque déplacement : « Chaque journée est un défi, il n’y a pas de petits matchs en Premiership. Nous devons rester humbles et continuer à travailler. » Son discours résolument tourné vers l’effort quotidien et la vigilance constante forge un état d’esprit unique.

Alors que Celtic et Rangers se battent pour retrouver leur splendeur passée, Hearts semble libéré de toute pression et profite de l’anxiété de ses rivaux. Pour Romain, qui suit aussi les matchs du PSG et de Manchester City, cette situation est une véritable leçon de management sportif : quand une équipe croit en son plan de jeu et s’y tient avec discipline, elle peut renverser des montagnes, même derrière Old Firm.

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