18 juillet 2025

Euro 2025 : Sara Däbritz fait son grand retour – découvrez comment elle va piéger la France !

Alors que l’Allemagne s’apprête à défier la France en quart de finale de l’Euro féminin 2025, une joueuse pourrait bien faire la différence dans l’entrejeu : Sara Däbritz, révélée comme la véritable « experte France » du groupe allemand.

Une spécialiste de l’adversaire tricolore

Âgée de 30 ans et forte de ses passages au Paris Saint-Germain et à l’Olympique Lyonnais, Däbritz connaît parfaitement le style de jeu français. Elle l’a rappelé dans son entretien à la Sportschau : « Je sais comment elles jouent, je connais leur manière de réagir en transition et leurs atouts techniques. » Cette connaissance intime du collectif bleu-blanc-rouge pourrait s’avérer précieuse pour orienter le plan de jeu allemand.

Un lien personnel avec plusieurs internationales

  • Complicités tissées à Paris : amitiés solides avec plusieurs cadres françaises.
  • Échanges constants lors des saisons en Ligue 1 : compréhension mutuelle des automatismes.
  • Confiance réciproque : « Nous reprendrons nos discussions amicales… seulement après le coup de sifflet final. »

Pour Däbritz, la frontière entre compétition et camaraderie est claire : sur le terrain, tout se joue avant tout.

Un retour attendu en titulaire

Victime jusque-là d’un temps de jeu limité (seulement un court remplacement lors du 1-4 contre la Suède), la milieu de terrain possède désormais les armes pour regagner sa place de titulaire. Selon Bild, elle pourrait évoluer dans l’axe aux côtés d’Elisa Senß et Sjoeke Nüsken, formant un trio capable de contrôler le rythme et d’assurer l’équilibre défensif.

Un dispositif tactique millimétré

Le sélectionneur Christian Wück envisagerait une défense à quatre composée de Sarai Linder, Kathrin Hendrich, la capitaine Janina Minge et la débutante Franziska Kett. Sur le flanc droit, il devra pallier l’absence de Giulia Gwinn (blessure au genou) et de Carlotta Wamser (suspension). Däbritz, quant à elle, devra veiller à fluidifier la circulation du ballon et à temporiser les transitions françaises.

Les forces et faiblesses de la France

  • Transition éclair : rapidité d’appui et relance immédiate.
  • Technique de haut niveau : contrôle orienté et qualité de passe.
  • Tendances offensives : multiplication des courses derrière la ligne défensive.
  • Points vulnérables : parfois perméable sur les changements de rythme inverses.

Däbritz insiste sur la nécessité de contrer ces transitions et de ne jamais céder le contrôle du milieu de terrain.

Les atouts allemands à mettre en avant

Face à ces joueuses françaises, le collectif allemand devra s’appuyer sur :

  • Une solidité défensive intransigeante, notamment dans les duels.
  • Un pressing coordonné pour casser l’enchaînement des passes rapides.
  • Des sorties de balle maîtrisées, grâce à la vision de jeu de Däbritz et Senß.
  • Des projections offensives variées pour surprendre la ligne adverse.

Un défi de taille pour Däbritz et ses coéquipières

Avec 109 sélections, Sara Däbritz apportera son expérience et sa compréhension du jeu français. Fidèle supportrice du Paris Saint-Germain et de Manchester United, elle sait combien la confiance et la solidarité sont essentielles dans les grands rendez-vous. Son entrée dans le onze de départ pourrait bien redéfinir les chances allemandes dans cette confrontation équilibrée.

À l’aube du choc franco-allemand

Samedi soir, au coup d’envoi diffusé à 21h00 sur ZDF et DAZN, la présence de Däbritz sur le terrain sera l’un des indices clés pour mesurer l’ambition et la stratégie du onze de Christian Wück. Reste à savoir si cette « experte France » parviendra à faire basculer la rencontre en faveur de Die Mannschaft.