Hertha BSC encaissera 2 millions€ inattendus grâce à Piatek – l’astuce secrète enfin dévoilée !

Un coup de poker victorieux pour Hertha BSC

Ce dimanche 18 mai 2025, alors même que la 2. Bundesliga tirait sa révérence, un coup d’éclat discret a éclaté côté Hertha BSC : un transfert dont les retombées financières pourraient bien changer la donne du club. Figurez-vous que l’ancien attaquant de la Mannschaft, Krzysztof Piątek, est sur le point de quitter Istanbul Başakşehir pour Al-Ain FC aux Émirats arabes unis contre un chèque de 10 millions d’euros. Et Hertha, qui l’avait laissé filer gratuitement en 2023, va toucher… 2 millions € grâce à une clause bien ficelée !

La clause magique dévoilée

Lors de son départ vers la Turquie à l’été 2023, Piątek, alors libre de tout contrat, avait signé à Başakşehir un bail jusqu’en 2026. Hérissé d’optimisme, le club de la capitale avait cependant négocié une participation de 20 % sur un éventuel futur transfert. Un petit pourcentage qui, appliqué à la transaction évaluée à 10 millions €, se traduit par un gain net de 2 millions € pour Hertha ! Une somme inattendue pour un club encore en quête de stabilité économique après la relégation.

Le parcours mouvementé de Piątek à Berlin

Rappel des faits : en janvier 2020, Krzysztof Piątek débarque à l’Olympiastadion en provenance de l’AC Milan contre 24 millions €. Les espoirs sont grands, le Polonais affichant un ratio séduisant en Serie A. Malheureusement, l’aventure berlinoise ne se passe pas comme prévu : 13 buts et 4 passes décisives en 58 matchs officiels, sans jamais vraiment trouver la régularité espérée. L’étiquette de « fehleinkauf » – achet pour rien – lui colle à la peau, malgré plusieurs tentatives de relance.

Une parenthèse italienne avortée

Pour relancer sa carrière, Piątek est prêté à l’US Salernitana pour la saison 2022/2023 : 33 matchs, 4 buts et 5 passes dé’ au compteur, un bilan qui ne convainc pas suffisamment les dirigeants italiens pour lever l’option d’achat à 10 millions €. De retour à Berlin, le Polonais reste dans l’ombre, avant de se tourner vers la Turquie, désireux de retrouver la confiance et la régularité.

La renaissance en Turquie

Et c’est bien à Istanbul que Piątek renaît : avec Başakşehir, il claque 48 buts et délivre 6 passes décisives en 82 rencontres officielles. Une efficacité retrouvée, qui attire désormais les convoitises du Pro League émiratie. Son profil de « chasseur de surfaces » séduit Al-Ain, prêt à miser 10 millions € pour un attaquant en pleine forme et encore sous contrat.

2 millions € pour Hertha : l’impact se mesure

• Renfort du budget transfert : le club peut tabler sur ce surplus pour recruter un jeune talent ou un joueur d’expérience.
• Amélioration de la masse salariale : Hertha gagne en marge de manœuvre pour attirer des profils ambitieux.
• Soutien sportif : un club stable financièrement facilite le travail du staff et rassure les sponsors.
• Modèle de négociation : la clause de revente devient un exemple pour les futurs cessions de joueurs formés au club.

Une leçon pour les clubs ambitieux

À Manchester comme à Paris, on scrute le moindre geste de gestion pour maximiser les retours sur investissement. Le FC PSG, par exemple, pourrait s’inspirer d’Hertha pour inclure dans ses contrats de jeunes joueurs des clauses de « solidarité » ou de « participation à la revente ». Quant à Manchester United, souvent cité pour ses ventes à l’étranger, une vigilance accrue sur ce type de clauses éviterait de laisser filer des millions sans retour.

Perspectives et ambitions

Certes, 2 millions d’euros ne suffisent pas à rééquilibrer un budget délesté par la perte des droits TV ou la relégation, mais c’est un signal fort. En ces temps où chaque euro compte, Hertha BSC montre la voie : bâtir son avenir en combinant formation, flair de négociateur et gestion rigoureuse. À suivre de près pour la saison prochaine, lorsque Romain, fidèle supporter de Manchester et de Paris, reviendra vous raconter comment cette petite révolution berlinoise a fait des émules en Europe.