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L’incroyable boulette d’Andrés Cubas : son passeport passé en machine lui coûte sa sélection !

Jun 25, 2025; Vancouver, British Columbia, CAN; Vancouver Whitecaps midfielder Andres Cubas (20) battles for the ball against San Diego FC during the first half at BC Place. Mandatory Credit: Anne-Marie Sorvin-Imagn Images

L’incident de la machine à laver pour Andrés Cubas

Il n’est pas courant qu’une faute de lessive ait des répercussions internationales, mais c’est précisément ce qui est arrivé à Andrés Cubas. Milieu de terrain paraguayen de 29 ans évoluant aux Vancouver Whitecaps, il a tout simplement oublié son passeport dans une poche de pantalon passé en machine. Résultat : il a manqué les matchs amicaux de la sélection paraguayenne contre les États-Unis et le Mexique.

Alors que Gustavo Alfaro avait retenu Cubas pour renforcer son entrejeu, le joueur est arrivé en Floride dépourvu de ses papiers. Les démarches administratives pour obtenir un document de remplacement en urgence n’ont pas pu aboutir à temps. Son absence s’est faite sentir lors de la défaite 2-1 contre les États-Unis, puis lors de la victoire paraguayenne 2-1 au Texas.

Francisco Cubas, son père, a livré le récit, quelque peu embarrassé, à la télévision : « Il a fait une boulette, il a laissé son passeport dans sa poche. La dame de ménage n’a pas remarqué, et hop, tout est passé à la machine. Il était vraiment furieux ». Pour un joueur pro, reconnu pour sa rigueur sur le terrain, ce genre d’amalgame paraît presque surréaliste.

Des oublis qui tournent au cauchemar

Cette mésaventure de Cubas n’est que l’une des nombreuses anecdotes où un document d’identité devient le point faible d’un footballeur. Romain, passionné de football et supporter de Manchester et Paris, suit de près ces histoires qui prouvent que la vie d’un joueur ne se limite pas aux 90 minutes sur la pelouse.

Parmi les plus célèbres :

Quand le passeport mène en prison

L’affaire la plus rocambolesque reste sans doute celle de Ronaldinho. En 2020, la légende brésilienne a été arrêtée et emprisonnée au Paraguay avec son frère, accusés d’avoir tenté d’entrer dans le pays avec de faux documents. Vrai coup de théâtre : en tant que détenteur d’une carte d’identité brésilienne, il n’avait même pas besoin de passeport pour ce voyage !

Durant ses 32 jours de détention, Ronaldinho a gardé son sens de la dérision. Il a participé à un tournoi de futsal en prison, inscrit une demi-douzaine de buts et remporté un cochonnet de 16 kg en guise de « trophée ». Cette anecdote insolite illustre à quel point la vie d’un footballeur de haut niveau peut basculer à cause d’un simple document.

Les pièges du multi-passeport

À l’ère de la mondialisation et des doubles nationalités, les joueurs sont parfois détenteurs de plusieurs passeports. Cette situation peut engendrer des complications administratives : quel document utiliser, quelle législation s’applique, et… quel visa est nécessaire ?

Leçons pour les pros et les amateurs

Les mésaventures de Cubas, Yamal, Antonio ou Ronaldinho rappellent deux choses essentielles :

Pour un passionné de football comme moi, ces anecdotes sont autant de rappels que, derrière chaque star, il y a un homme soumis aux aléas de la vie quotidienne. Et parfois, c’est un simple passeport qui fait la différence entre jouer un match clé et rester bloqué à la maison.

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