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PSG humilié 3-0 en finale : découvrez le prodige anglais qui a mis Paris à genoux

Un scénario inattendu au MetLife Stadium

Le 13 juillet 2025 restera gravé dans la mémoire des supporters de Paris Saint-Germain comme une soirée cauchemardesque. Face à Chelsea, grand favori de cette première édition XXL de la Coupe du monde des clubs, le PSG s’est incliné 0-3, balayant les espoirs d’un sacre tant attendu. Installé dans l’enceinte mythique du MetLife Stadium, aux portes de New York, le club parisien a vu ses certitudes s’effondrer, malgré un pedigree européen et une série de victoires remarquables en quarts contre le Bayern Munich (2-0) et en demies contre le Real Madrid (4-0).

La démonstration de force des Blues

Chelsea, entraîné par Enzo Maresca, a livré un récital tactique et offensif. Dès l’entame, les Londoniens ont affiché une agressivité et une maîtrise du ballon qui ont laissé les Parisiens désemparés. Le plan de jeu mis en place par l’ancien adjoint de Pep Guardiola reposait sur :

Cette approche a donné des résultats immédiats et spectaculaires, notamment grâce à un attaquant en état de grâce.

Les temps forts de la rencontre

Atypique, la performance de Cole Palmer

À seulement 23 ans, Cole Palmer a crevé l’écran. Ses deux buts, quasiment identiques, témoignent de sa capacité à exploiter la moindre faille défensive. Plus encore, son influence s’est faite sentir tout au long du match :

Palmer a profité de la nervosité de Donnarumma, souvent battu sur ses premiers choix, pour faire basculer le match avant la pause.

Réactions et ambiance électrique

Dans les tribunes, la cohabitation entre dignitaires et célébrités n’a pas manqué de piquant : Donald Trump, venu en invité d’honneur aux côtés de Gianni Infantino, a assisté à la fête anglaise. De leur côté, les remplaçants de Chelsea, arborant fièrement des T-shirts “World Champions”, ont envahi le terrain pour célébrer ce succès historique. Chez les Parisiens, c’est la consternation ; Gianluigi Donnarumma, hagard, n’a pu trouver de mots pour expliquer cette déconvenue, tandis que Luis Enrique, malgré son habituel sang-froid, s’est montré très agité lors du regroupement d’après-match.

Le poids financier et médiatique de la victoire

Au-delà de l’aspect sportif, cette finale a été une immense opération financière et promotionnelle. Chelsea empoche 40 millions de dollars, contre 30 pour le PSG. Mais c’est surtout la visibilité mondiale et l’impact médiatique qui font de cette Coupe du monde des clubs un événement majeur :

FIFA promet de faire de cette compétition “le plus grand rendez-vous des clubs” et l’édition 2029 est déjà attendu avec impatience.

Impressions personnelles d’un passionné

En tant que blogueur installé entre Paris et Manchester, j’ai vécu cette finale avec une double casquette. D’un côté, j’espérais voir le PSG tenir son rang et remporter enfin un trophée international majeur ; de l’autre, je ne pouvais qu’admirer la maîtrise tactique et la fraîcheur physique de Chelsea. Cette débâcle parisienne rappelle que sur une seule rencontre, tout peut basculer. Mais elle souligne aussi l’émergence d’une génération anglaise ultra-compétitive, prête à marquer l’histoire du football mondial.

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