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PSG humilie le Real Madrid 4-0 en 24 minutes : la gifle historique qui secoue le foot mondial

Un récital parisien à New York

À peine 39 jours après avoir soulevé la Ligue des Champions à Munich, le Paris Saint-Germain a frappé un grand coup en écrasant le Real Madrid lors de la demi-finale de la Coupe du monde des clubs ce mercredi 9 juillet au MetLife Stadium, dans la banlieue de New York. Devant 77 542 spectateurs, le club de la capitale française a livré une performance de haute volée, infligeant un cinglant 4-0 aux Mérengue et se présentant déjà comme le grandissime favori pour la finale face à Chelsea.

Chronologie d’un écrasement

Dès l’entame de match, le PSG a pris l’ascendant. À la 6e minute, une récupération haute permet à Fabian Ruiz d’ouvrir le score d’une frappe imparable. Trois minutes plus tard, le milieu espagnol double la mise d’une subtile frappe du droit, profitant d’une défense madrilène désorganisée. À la 24e minute, Ousmane Dembélé, brillant dans un rôle de piston droit, surfe sur un ballon mal renvoyé par la défense adverse et marque le troisième but. Trois occasions, trois buts : le match était déjà plié avant la pause.

Le Real Madrid, visiblement sonné, ne parvient pas à poser le moindre véritable danger devant Gianluigi Donnarumma. Plus bas et plus rapides, les Parisiens ne cessent de presser, privant leurs adversaires de toute maîtrise du ballon. Il faudra attendre la 87e minute et l’entrée de Gonçalo Ramos pour voir un dernier but, qui porte le score à 4-0 et parachève la démonstration.

Les enseignements tactiques

Les errements du Real Madrid

Le tableau d’ensemble est cruel pour l’équipe espagnole. Privé de cohésion, le Real Madrid est apparu comme un simple agrégat d’individualités plus ou moins inspirées :

Contexte et enjeux financiers

Au-delà de la victoire sportive, le PSG joue gros : en cas de sacre dimanche face à Chelsea, les Parisiens repartiront non seulement avec le trophée mondial, mais également avec la prime de 40 millions de dollars attribuée au vainqueur. La perspective de ravir ce jackpot renforce l’importance de cette finale, d’autant que le président Donald Trump pourrait assister à la rencontre.

Ambitions et défi pour la finale

Face à un PSG en état de grâce, Chelsea, vainqueur de Fluminense (2-0) lors de l’autre demi-finale, devra se montrer plus solide défensivement et plus incisif offensivement que le Real Madrid. Pour Luis Enrique, c’est l’occasion de confirmer la force du collectif parisien et de montrer que la victoire en Ligue des Champions n’était pas un feu de paille. Les Parisiens aborderont la finale avec la confiance d’une équipe capable d’imposer son style et de dominer n’importe quel adversaire.

En attendant, ce triomphe face aux Merengue restera l’un des jalons majeurs de la saison des Rouge et Bleu, prouvant que le PSG n’est plus seulement un prétendant aux coupes européennes, mais bel et bien un mastodonte capable d’écraser tous ses rivaux.

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