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Thomas Müller débarque à Vancouver et balance une confidence inattendue : la MLS sous le choc !

Un nouveau défi pour la légende bavaroise

Après quinze années passées à enchaîner les titres et à inscrire son nom au panthéon du FC Bayern, Thomas Müller vient d’écrire un nouveau chapitre inédit de sa carrière. Le grand attaquant allemand a posé ses valises à Vancouver pour rejoindre les Whitecaps et, dès son arrivée, il a lâché avec humour : « Je sais comment on passe l’aspirateur », un clin d’œil à sa capacité à entretenir un quotidien sain tout en gardant la tête dans le football. Cette première conférence de presse a permis au champion du monde 2014 de dévoiler sa motivation intacte et son désir de contribuer immédiatement au succès de son nouveau club.

L’enthousiasme de la prise de fonction

« Je suis très heureux d’être ici et de saisir cette opportunité », a affirmé Müller avec un grand sourire devant les médias présents. Loin d’être impressionné par le décalage horaire ou le long voyage de plus de 8 000 kilomètres, il a confié être en excellente forme physique et impatient de fouler le gazon. « On m’a dit que Vancouver était la meilleure ville au monde, mais pour moi, l’essentiel reste de jouer au soccer. Je veux le plus vite possible ressentir l’énergie du terrain. » Une déclaration qui en dit long sur son envie de se mettre au travail et de ne pas se laisser distraire par l’environnement.

Une aventure motivée par la quête de titres

Malgré son palmarès impressionnant, l’ancien joueur du Bayern ne se repose pas sur ses lauriers : « Ça ne sert à rien de regarder derrière. J’ai gagné énormément de titres, mais ce qui m’anime aujourd’hui, c’est l’idée d’en remporter d’autres. » Les Whitecaps, qui ont récemment franchi un palier en MLS, lui offrent un projet ambitieux et clairement axé sur la compétition. Müller a souligné qu’il avait étudié le plan de développement du club et s’y était immédiatement reconnu : « Ils m’ont montré leurs idées, leurs plans. Je me suis senti dès le premier instant chez moi. »

Le rôle central de l’adaptabilité

Müller a insisté sur sa faculté à évoluer dans différents systèmes : « Je veux un football actif, contrôler le jeu, appuyer constamment sur l’accélérateur. » Il connaît déjà plusieurs anciens Allemands passés par la MLS et s’est entretenu notamment avec Bastian Schweinsteiger et Florian Jungwirth pour glaner quelques conseils pratiques. Le champion d’Europe 2016 a également évoqué Marco Reus et Eric Maxim Choupo-Moting comme de précieuses sources d’inspiration.

Premier contact chaleureux avec la ville et le club

À son arrivée à Vancouver, Müller a été accueilli par un public enthousiaste, venu dès l’aéroport manifester sa joie. « Ce chaleureux accueil m’a touché, et j’espère ressentir la même ferveur dimanche dans le stade. » Même si l’accueil médiatique peut générer une certaine pression, Thomas se dit prêt à la jouer humble : « Je suis ouvert et sociable, je vais vite me faire des amis ici. » Il a même plaisanté sur sa maîtrise de tâches du quotidien : « Je sais comment on gère une maison, je passerai l’aspirateur si besoin ! »

Confiance en la pelouse artificielle et préparation mentale

Vancouver évolue sur un terrain en gazon synthétique, une surface qui peut inquiéter certains footballeurs. Mais Müller, formé en Allemagne, ne craint pas le changement : « J’ai grandi sur du gazon naturel, mais quand j’étais jeune, on jouait aussi sur du synthétique. Mes genoux sont toujours ceux d’un quinquagénaire endurci — ils fonctionneront très bien. » Il a également évoqué son suivi du sommeil et sa discipline face aux effets du jet-lag : « Mes systèmes de suivi me garantissent un bon repos, je suis donc prêt à attaquer ces prochains jours sans encombre. »

Un regard confiant vers l’avenir

Sans évoquer une quelconque nostalgie, Müller a fixé ses objectifs pour les semaines à venir : « Mon unique repère sera de sentir que j’apporte quelque chose à l’équipe. Si je parviens à aider mes coéquipiers, les chiffres viendront d’eux-mêmes. » À 36 ans, sa vision reste claire : la compétition reste le carburant de sa passion. À Vancouver, la légende allemande entend bien poursuivre sa mission : gagner, évoluer et partager son expérience, toujours avec ce sourire qui a marqué son passage en Europe.

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