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Vous n’allez pas croire comment Ronaldo (40 ans) a éteint la jeune star Yamal pour décrocher la Nations League !

Un final haletant à Munich

Le samedi 8 juin 2025, l’Allianz Arena de Munich vibrait sous les chants des supporters portugais et espagnols. Plus de 65 000 spectateurs (65 852 pour être précis) ont assisté à un spectacle digne des plus grandes épopées footballistiques : une finale de Ligue des Nations conclue sur un score de 2-2 après prolongation, avant qu’un coup de théâtre ne s’offre à nous lors de la séance de tirs au but. En tant que passionné de foot – supporter invétéré de Manchester United et du Paris Saint-Germain – je n’avais jamais ressenti une telle intensité depuis un derby anglais en Old Trafford.

Le cadre et les enjeux

La Ligue des Nations, compétition créée pour dynamiser les rencontres internationales, offrait cette année sa quatrième édition. Le Portugal, champion en 2019, visait un doublé. L’Espagne, sacrée à sa première édition en 2018, rêvait de reprendre le trophée. Opposés dans un stade neutre, les deux sélections se retrouvaient sur la pelouse munichoise après des demi-finales respectives : les Lusitanos avaient écarté l’Allemagne, tandis que la Roja avait battu la France lors d’un match fou (5-4). L’affrontement promettait d’être riche en émotions.

Première période : l’Espagne prend l’avantage

Dès les premières minutes, l’intensité était à son comble. Après un duel stratégique au milieu de terrain, le jeune Lamine Yamal – 17 ans à peine – offrait une passe millimétrée à Martin Zubimendi, qui ne tremblait pas pour ouvrir le score à la 21e minute. Ce jeune prodige, après un festival de dribbles, avait déjà conquis les cœurs avant même d’inscrire son premier but crucial.

Dans la foulée, le Portugal réagissait instantanément grâce à Nuno Mendes. À la 26e minute, le latéral du PSG ajustait son tir pour égaliser, relançant la partie. Quelques instants plus tard, Mikel Oyarzabal fusillait la défense portugaise pour offrir un nouveau succès momentané à l’Espagne avant la pause (2-1, 45e).

Prolongation et l’égalisation de CR7

Après la mi-temps, le rythme baissait, les deux équipes cherchant à économiser leurs forces. Les occasions se faisaient rares, les milieux de terrain prenaient le pas, et l’on craignait un scénario de match bloqué. Pourtant, à la 61e minute, Cristiano Ronaldo, toujours assoiffé de records, surgissait dans la surface et plaçait une tête imparable pour ramener le score à 2-2. Son 138e but en 221 sélections ! Le stade explosait, et l’emblématique n°7 sortait quelques minutes plus tard, ému, avant de laisser place aux prolongations.

Le duel générationnel : Yamal face à la légende

Entre l’exubérance du jeune prodige et l’expérience inébranlable du quintuple Ballon d’Or, le spectacle sur le terrain ne cessait de basculer d’un camp à l’autre.

La séance de tirs au but : victoire des Lusitanos

Lorsque le chronomètre tourist des prolongations s’est arrêté, 2-2 restait gravé au tableau d’affichage. Place aux tirs au but. Après trois tentatives réussies de chaque côté, arrivaient les instants décisifs :

À 5-3 lors de la séance, la délivrance portugaise éclata. Cristiano Ronaldo, déjà sorti du terrain, se précipita sur la pelouse en larmes pour célébrer ce nouveau sacre. Les coéquipiers de Bruno Fernandes s’enlaçaient, conscients d’avoir accompli un exploit collectif.

Réactions et ambitions pour le Mondial 2026

Après le match, Bruno Fernandes résumait à merveille la performance : « Le fighting spirit et la cohésion ont fait la différence aujourd’hui. » Cette victoire confirme les ambitions lusitaniennes en vue de la Coupe du monde 2026, où le Portugal entend rééditer ses exploits. Pour l’Espagne, ce coup d’arrêt sert de leçon à la jeune génération : l’avenir est prometteur, même si la finale a tourné à l’avantage du plus expérimenté.

Un match à revivre

En tant que blogueur passionné, j’ai vécu cette finale comme une véritable montagne russe émotionnelle. Alors que je soutiens Manchester United et le PSG tout au long de la saison, sur la scène internationale, difficile de ne pas être ébloui par la magie de Ronaldo et l’éclat de talents comme Yamal. Ce duel générationnel restera gravé dans ma mémoire, tout comme dans celle des amateurs de football du monde entier.

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