31 juillet 2025

Vous ne devinerez jamais la tactique explosive que le 1. FC Köln prépare pour la Bundesliga !

Un retour attendu en Bundesliga

Après une saison d’absence, le 1. FC Köln réintègre l’élite allemande avec l’ambition de s’y installer durablement. Romain, passionné de football et supporter invétéré de Manchester et de Paris, suit chaque match comme un rituel : ce retour dans la cour des grands promet de belles empoignées, et les Rhénans veulent frapper fort dès la reprise.

Le duo Kessler–Kwasniok installe sa vision

La première décision forte du FC Köln a été de nommer Thomas Kessler comme nouveau directeur sportif, suivi rapidement par l’arrivée de Lukas Kwasniok au poste de coach. Ensemble, ils préconisent un football offensif où l’intensité prime. Kwasniok exhorte ses joueurs à « mettre la gomme » à chaque phase de jeu et à enchaîner pressing haut et transitions rapides pour galvaniser le public de la RheinEnergieStadion.

Renforts en attaque : les recrues et les manques

Sur le front offensif, le club a d’ores et déjà recruté deux hommes issus de la 2. Bundesliga :

  • Ragnar Ache (ex-Kaiserslautern), finisseur aguerri, fort de ses 12 réalisations la saison passée,
  • Isak Johannesson (ex-Düsseldorf), ailier virevoltant reconnu pour son dribble et sa vitesse.

Si ces nouveaux visages offrent des garanties, ils ne répondent pas totalement au besoin d’un second attaquant capable de suppléer Ache. Imad Rondić, arrivé l’an dernier, n’a pas convaincu, et il faudra encore dégoter une solution en pointe pour densifier l’attaque.

La quête d’un roc au cœur de la défense

En défense centrale, la fidélité à Timo Hübers, capitaine incontesté, reste la colonne vertébrale. Mais l’absence d’un deuxième « stoppeur » de haut niveau se fait cruellement sentir. Le dossier Ahmetcan Kaplan, pisté à l’Ajax, n’a pas abouti, laissant un vide inquiétant. Aujourd’hui, Calvin Brackelmann (Paderborn) émerge comme piste prioritaire : Kwasniok le connaît bien, et sa rude expérience du Zweite Liga pourrait consolider l’arrière-garde.

Flanc gauche : un boulevard à combler

Le départ de l’axial Maximilian Finkgräfe vers Leipzig a créé un vide sur la gauche. À ce jour, aucun successeur officiel n’a été annoncé, et les rumeurs évoquent Derrick Köhn (Werder) comme option crédible. Toutefois, son profil offensif pourrait nécessiter une adaptation défensive, et le montant du transfert reste un point de négociation sensible.

D’autres réajustements tactiques

Sur le côté droit, Jusuf Gazibegovic se profile comme titulaire, tandis que Sebastian Sebulonsen devra embrasser un rôle de joker de luxe. Dans l’entrejeu, l’arrivée de Tom Krauß (ex-Bochum) apporte de la densité et une touche de créativité. En attaque extérieure, Jakub Kamiński et Linton Maina seront concurrents pour épauler Johannesson.

Les contrats qui fâchent

Plusieurs contrats courts expiration en 2026 suscitent l’inquiétude :

  • Eric Martel (milieu relayeur) hésite à prolonger et pourrait partir libre,
  • Said El Mala (jeune ailier) a signé jusqu’en 2030 mais attire déjà les convoitises de Brighton,
  • Florian Kainz, Leart Paqarada, Timo Hübers et Dominique Heintz verront leur bail expirer dans dix-huit mois.

Le sort de Martel, joker de la dernière Coupe d’Europe des moins de 21 ans, sera déterminant : une prolongation garantirait un transfert lucratif pour le club, sinon l’été 2026 s’annonce délicat.

Des élections stratégiques à venir

En septembre, Köln entamera un cycle électoral pour son conseil d’administration. Plusieurs candidats ont d’ores et déjà déclaré leur candidature, et les débats promettent d’être vifs. Les supporters espèrent davantage de stabilité, condition sine qua non pour éviter les turbulences politiques qui ont trop souvent miné le club ces dernières années.

Les promesses d’un nouveau défi

Avec son effectif remanié et sa forte volonté de jouer vers l’avant, le 1. FC Köln affiche des ambitions claires pour l’exercice 2025–2026. Romain, toujours attentif aux performances de Paris et Manchester, garde un œil sur les progrès de Kölner Jungs, curieux de voir si le club rhénan peut rivaliser avec les géants européens en matière d’engouement et de jeu travaillé.